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en vertu de l'ordre susmentionné; ordonnant en outre de rechercher les étrangers domiciliés dans Paris, 2 03, 204. — Idem, ordonnance adressée aux Quarteniers, pour la recherche très sévère des étrangers domiciliés dans Paris, ès maisons privées et établissements publics; rdiclant en outre dc? peines pécuniaires et corporelles contre les propriétaires et hôteliers réfraclaires, 264. — Idem, ordonnance adressée aux colonels de Ia Milice bourgeoise, réglementant par Ie détail le service de garde aux portes de Ja Ville, 2G4, 265. — 16 juillet, injonc­tion à trois sergents d'aller, trois fois par jour, inspecter Ies gardes des portes de la Ville, et d'en faire un rapport quotidien au Bureau, 266. — 6 août, défense aux ca­pitaines et autres officiers de garde aux portes de la Ville de laisser sortir aucunes balles, tonnes, caisses, etc., sans avoir été visitées préalablement et certifiées par un passeport émané de l'Échevinagc, avec ordre de saisir les armes et autres denrées prohibées qui s'y trouve­raient, 269, 270. — 8 septembre, mandements aux colonels de la Milice bourgeoise, pour faire recherche exacte, à 5 heures du malin, des étrangers logés en leur quartier respectif, et expulser les soldats ct autres gens sans aveu qu'ils y rencontreraient, 280. — 10 septembre, défense aux capitaines de la rivière et aux maîtres des ponls dc laisser passer aucun bateau, lant de jour quc de nuit, allant de la ville aux champs, et pareillement de la ville à Ia ville pendant la nuit, 381. — 16 septembre, mandement prescrivant aux Quarteniers dc dresser le rôle des chevaux de louage en Ieur quartier, et d'apporter ledit rôle Ie jour même au Bureau, 281. — Idem, ordre ai ceux des Quarte­niers qui sont porteurs des clefs des portes de la Ville, et aux capitaines dc garde, dc tenir les portes ouvertes pour l'entrée a Paris, mais non pour la sortie sans pas­seport, 281, 282 (deux articles). — 18 septembre, mémoire el règlement généra], édicté par le Roi, pour faire travailler aux tranchées et barrières des faubourgs; prescrivant, de plus, des mesures diverses pour la sûreté de la Ville, la police des vivres et de la navigation, mème sur les affluents de la Seine, tant à l'amont qu'à l'aval de Paris, 282, 280. — Idem, mandement aux colonels de la Milice bourgeoise, pour faire monire rt revue de leurs compagnies, 283. — 19 septembre, or­donnance aux maîtres des œuvres de Ia Ville, de pro­céder à divers travaux et opérations nécessaires pour la défense et Ja sùnté de la Ville, 284. — Idem, ordon­nance à trois des sergents de la Ville, de se rendre à Poissy, à Melun et à Meaux, pour, de chacun de ces po:ts, faire avaler a Paris toutes les embarcations qui s'y trouveraient, 284. — 21 septembre, mandement prescrivant aux colonels de la Milice bourgeoise de dresser un état des personn;s possesseurs de chevaux propres au service militaire, 289. — 22 septembre, mandement aux capitaines des trois Nombres, pour faire mn:.lre ct revue de leurs compagnies, 289, 29°- —
DU BUREAU
Idem, ordre général édicté par le Roi, avce règlement détaillé pour tout ce qui concerne la police, la fortifi­cation et la sûreté de la Ville, 290, 291, 292, 2g3.
—  a3 septembre, rappel de l'ordre donné pour la con­scription des chevaux propres au service militaire, ag3.
—  Idem, mandements à certains Quarteniers, pour faire la garde jour et nuit dans les faubourgs de l'Uni­versité, et en outre pour faire murer les ouvertures pos­térieures des maisons en tant qu'il sera nécessaire, 2g4.
—  4 octobre, ordonnance municipale sur la discipline à observer tant par les miliciens que par les hommes d'armes, 297, 298- — 5 octobre, ordonnance du Roi interdisant aux marchands de chevaux, armuriers et quincailliers, de délivrer aucunes armes ni chevaux, sans congé signé par le Roi ou par l'un des secrétaires d'Etat, 299. — 6 octobre, injonction aux soldats, com­posant la troupe de deux mille hommes de pied nou­vellement levée en la Ville, de se retirer sous leurs en­seignes, 299. — 8 octobre, défense aux susdits soldats de se répandre hors de la Ville, de fourrager par les villages circonvoisins et de commettre aucun excès, 299, 3°0- — 3i octobre, mandements aux ca­pitaines de la Milice bourgeoise du faubourg Saint-Marcel, pour rechercher et arrêter les soldats qui se trouveraient cachés audit faubourg, 3o4, 3o5. —
—  1" novembre, mandements aux colonels de la Mi­lice bourgeoise, pour l'aire rechercher les meurtriers du sieur Du Guast, mestre de camp, 3o5. — 2 novem­bre, mandements aux mêmes officiers, Ieur enjoignant de remettre le procès - verbal des recherches ordon­nées la veille, 3o5. — 9 décembre, ordre aux capi­taines de garde, sur les courriers et postillons entrant en ville; et rappel de l'ordonnance royale du 22 septembre précédent, 3o8.— 19 décembre, ordonnance royale in­stituant une commission spéciale près l'Hôtel de Ville, 3-2 3. — Idem, ordonnance royale enjoignant ai chaque habitant dc se pourvoir d'engins de défense, 3a3, 324.
— 2 3 décembre,délibération de la commission spéciale susmentionnée, sur les mesures ai prendre pour l'ali­mentation, l'armement ct la fortification de la Ville, 324. — Idem, ordonnance du Conseil privé, pour Ie même objet quc dessus, 324, 325. — 24 décembre, mandement aux Quarteniers, pour Ia mise à exécution de l'ordonnance royale relative à l'armement des ci­toyens et à la fortification de la Ville, 3a6, 327. — 27 décembre, mandement aux Quarteniers, pour dres­ser un rôle de toutes les maisons de leur quartier avec le relevé dc leurs habitants, .829. — 28 décembre, ordre aux colonels de la Milice bourgeoise, rappelant les prescriptions des deux mandements précédents, 33o.
— En 1576 : 4 janvier, ordonnance municipale rela­tive à la mise en état des portes Saint-Victor et Saint-Marcel, 332. — 5 janvier, mandement aux colonels de la Milice bourgeoise, pour faire montre et revue